Le Reboutement est l’ancêtre des disciplines modernes comme l’ostéopathie, l’étiopathie, la kinésithérapie, etc… A l’origine, ce savoir-faire est issu des milieux ruraux et les rebouteux qui le pratiquaient en ont hérité le plus souvent de leur famille. Nous retrouvons cette méthode dans des écrits d’Hippocrate et dans ceux d’autres auteurs anciens.
Les rebouteux soignent en touchant et s’occupent avant tout des entorses, des fractures, des luxations de tous les os du corps, des orteils au crâne. Certains s’occupent des rhumatismes, de l’arthrose ou même des sciatiques.
Comme chaque thérapeute, un rebouteux à sa façon de faire. Le rebouteux est reconnu pour son habileté et son savoir-faire pour remettre les foulures et les entorses voire les tendons en place.
Le Reboutement a la particularité d’être très efficace pour tout ce qui est problème
- de dos,
- de muscles,
- d’articulations
- des nerfs ou des muscles « froissés »
- des tendons qui sautent
La méthode peut apaiser de nombreux maux courants tels que :lumbago, sciatique, douleur aux genoux, tensions aux épaules, tendinite, torticolis, maux de ventre, migraines et même l’anxiété , la dépression, le surmenage, le stress.
Tout comme le magnétisme, c’est une approche globale préventive et curative qui permet de soulager les tensions physiques qui déséquilibrent les fonctions du corps, et qui à terme peuvent entrainer la mise en place de la maladie.
Le Reboutement est une technique manuelle de soins qui permet d’atténuer les douleurs, d’oxygéner le système neuro-articulaire et ligamentaire.
Elle est dispensée sur la partie douloureuse du corps, travaillée à son pourtour réduisant les néo-calcifications collées aux endroits concernés créant ainsi une réduction immédiate de la douleur et permettant une guérison rapide dénuée d’hématome. Elle n’entraîne aucun effet secondaire.
Le vieil adage voulant que « tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime », nous enseigne que les blessures du passé, les émotions refoulées, les rancœurs et les conflits non résolus seraient à l’origine de nombreux problèmes de santé que nous rencontrons aujourd’hui. Et si nous étions invités à considérer la maladie non plus comme une « agression » contre notre métabolisme, mais bien comme un « blocage » empêchant le simple parcours d’une information et son assimilation par notre cerveau.
Quand les mots ne s’expriment pas, les maux s’impriment.
Mémoire des maux et des mots